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Mademoiselle pélican
Crapo

Lieu: Îles San blas, Panama

Référence: SL05

Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent - Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons, - De leur fatalité jamais ils ne s’écartent, - Et, sans savoir pourquoi, disent toujours: Allons ! «Le voyage, Charles Baudelaire, 1857». C’est ainsi que Crapo se déplace, dans de lointains paysages sur son «arpège», motivé par la conquête de nouveaux espaces, guidé par les vents. Il traverse l’océan et observe. Ses clichés sont le récit de ses périples, ils nous racontent ce que le voyageur voit. Le photographe, quant à lui, est celui qui se donne le temps de la rencontre.

Crapo

Le « Crapo » ne laisse personne indifférent, partout dans le monde, on lui attribue des symboles. En Europe, il est un antidote aux venins. En Asie, il est l’ami du dieu du ciel. En Amérique du sud, il commande la pluie. En Afrique, il est guérisseur des brûlures. Son insensibilité à toutes formes, de venin, le rend libre…. Il ose. Le chant de « Crapo » n’est pas le coassement mais le son discret du « cliché ». Ses photographies sont un antidote à la monotonie… 

 

Peut-être cherche-t-il à émouvoir la princesse qui lui donnera « le baiser » ?

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